Trouver un "bon" restaurant sur Google relève du numéro d'équilibriste. Pour mettre fin à ce calvaire, voici quelques secrets et astuces pour ne plus se faire berner... et enfin apprendre à bien décoder les notes et les avis en ligne.
La dernière fois que j’ai choisi un restaurant en faisant confiance aux avis Google, c’était un lendemain de réveillon de Nouvel An. J’étais sur le parvis de la gare de Bordeaux, je ne savais pas où aller manger et ça m’a guidé tout droit vers une brasserie où j’ai avalé l’un des pires repas de ma vie.
Depuis, je ne me fie plus qu’à mon flair, aux réseaux sociaux, au bouche-à-oreille et à des valeurs sûres (Le Fooding, Le Poording, 716lavie, l’inévitable The Spoon of Paris, les précieux conseils de Constance Dovergne dans sa newsletter Carte Blanche, Jordan Moilim, ou encore mon ami Zozo).
Pour ne rien oublier, je compile toutes mes adresses sur une carte (dispo ici sur l’appli Mapstr), et je me suis fait la promesse de ne plus jamais me faire berner, comme lors de ce maudit lendemain de réveillon.
Si l’on met ce traumatisme de côté, il faut toutefois reconnaître que Google reste une mine et un réservoir à bonnes adresses – pas encore totalement cannibalisés par ChatGPT – qu’il serait imbécile d’ignorer, autant dans sa propre ville que pour préparer un voyage à l’étranger. Mais comment s’y retrouver ? Comment éviter les pièges ? Comment lire entre les lignes, dans un monde où un tiers des avis sont des faux ou présentent des anomalies ?
Un jour, à l’arrivée d’un reportage à bord de l’Orient-Express, Shirley Garrier (The Social Food), qui était aussi du voyage, m’a ouvert les yeux sur un nouveau monde. À table d’un resto sans chichi de Venise, où le célèbre train marquait son terminus, elle me confiait alors ses secrets pour trouver systématiquement un “bon” restaurant en ligne. Et ça, juste à partir d’un coup d’œil sur les avis et des photos floues et mal cadrées d’une adresse sur Google.
Aujourd’hui, Shirley Garrier passe aux aveux et accepte de nous confier quelques-unes de ses astuces. Pour vous offrir une expertise complète, j’ai également chipé les secrets d’autres nerds et esthètes de l’exercice : Christine Doublet (directrice adjointe du Fooding), Quentin Peron (chef), Guilhem Malissen (chef), Jean-Nicolas Meiffret (We Are Ona), et mon ami Livio.
Ma petite enquête m’a offert une tonne de réponses et astuces, mais toutes les expertises convergeaient vers le même critère : les photos. Même mal cadrées, même floues, mêmes sombres : elles s’imposent souvent comme le révélateur ultime, permettant de glaner de précieux indices.
“Avec Google, il n’y a pas vraiment de triche : les utilisateurs postent souvent des photos brutes, capturées à l’iPhone, sans mise en scène. C’est la vérité sans artifices”, souffle la photographe Shirley Garrier, qui se méfie toujours des images trop travaillées, “capables de rendre un plat moyen visuellement irrésistible”. “Plus les photos sont “moches”, plus elles sont sincères !”, sourit Shirley Garrier qui s’en sert pour analyser le dressage, les assiettes, les garnitures, la brillance des plats, la texture et la couleur des sauces, ou la cuisson des viandes.
Puisqu’une image bancale vaut parfois plus qu’un long blabla, les photos postées par les clients, même tremblotantes, permettent ainsi souvent de se faire une idée de l’atmosphère d’un lieu – ambiance, dressage, portions, décoration… –, tout en laissant une part de mystère et pas mal de latitude pour notre imagination et notre libre-arbitre.
Christine Doublet, l’une des boss du Fooding, dont le radar est particulièrement affuté en matière de recherche de restos, “fonctionne beaucoup à l'intuition”. “Si des photos floues et mal cadrées, donnent quand même envie, c'est déjà un très bon signe”. Même chose du côté du chef Quentin Peron qui, lui aussi, repère souvent des lieux uniquement grâce à des photos brutes postées par les clients.“Je trouve de la beauté dans la simplicité, et ces photos offrent une certaine forme d’authenticité”, appuie-t-il.
“Google, c'est l'anti-Instagram et c'est en ça qu’il est utile, ajoute le chef Guilhem Malissen. On est à rebours total du contrôle de l'image par les restos et les chefs. Il n’y a aucun véritable effort ou ambition esthétique chez celui qui la poste. Si tu gardes ça en tête pendant tes recherches, tu peux obtenir une vision plus réaliste d’un lieu… ou alors t’imaginer que la réalité se trouve quelque part entre cette photo et Instagram.”
Erreur de rookie à éviter : une note élevée n’est pas toujours gage de bonne expérience. À l’inverse, une note moyenne ne signifie pas forcément qu’un lieu est à éviter. Mieux vaut, ainsi, apprendre à lire entre les lignes, car la note donne une tendance mais n’est jamais une science exacte (cf. : la règle du 3,5/5).
“Je me méfie des notes élevées sur peu d’avis : une note de 4,8 avec 15 avis, ça ne veut pas dire grand-chose, dit Shirley Garrier. À l’inverse, une note de 3,5 ne me rebute pas, surtout pour des restaurants traditionnels : j’y ai parfois fait mes meilleures découvertes”.
“La note, c’est un critère important, mais un peu comme sur Uber, tout se joue généralement entre 4 et 5, pointe Guilhem Malissen. “Un 5 étoiles avec 50 avis, c’est souvent le début, les gens sont bienveillants”. Toutefois, en dessous de 4,5, ça se corse. “Il faut vraiment qu’on m’ait chaudement recommandé l’endroit, et que j’aie confiance en la personne qui me l’a conseillé, pour que j’y aille”.
Analyser avec des critères rigides et inflexibles des lieux aux âmes et aux univers très différents est un piège dans lequel il est souvent facile de s’engouffrer. C’est à partir d’ici où il faut apprendre à adapter sa grille de lecture. “Je n’analyse pas toutes les adresses de la même manière : je ne vais pas juger la vaisselle ou les détails de la même façon dans un boui-boui, une cave à vin nature, un bistrot parisien ou un omakase japonais”, explique Shirley Garrier.
“C’est une question de feeling. Aucun type de restaurant n’est meilleur qu’un autre, tout dépend de l’intention et de l’ambiance. Dans un vieux bar espagnol, je regarde l’atmosphère générale : bois patiné, maillots de foot au mur, vieille télé, pointe-t-elle. À l’inverse, pour une adresse moderne avec un chef créatif, je suis plus exigeante : vaisselle, dressage, saisonnalité. J’aime aussi voir l’évolution de la carte dans le temps : si le chef suit juste les tendances ou s’il reste fidèle à son style.”
Si certaines astuces permettent de ne plus se tromper, il faut savoir aussi donner libre cours à ses envies, à sa sensibilité et à sa propre mesure de l’exigence. Exemple : lorsque je me rends une brasserie traditionnelle parisienne, je ne serai jamais freiné par des avis maudissant un “mauvais” service – pire, cela m’encouragera peut-être même à y aller.
“Le service est souvent un point de crispation : moi, un service un peu ‘austère’ ne me dérange pas si la cuisine est bonne, continue Shirley Garrier. Mais il faut aussi adapter son analyse selon la culture : à Paris ou au Vietnam, c’est presque anecdotique ; au Japon, en revanche, un mauvais accueil est pour moi un vrai ‘red flag’”. Morale : il faut savoir lire entre les lignes. “Beaucoup de mauvais commentaires viennent de gens qui n’ont pas compris l’intention du lieu, qui attendent un service particulier ou qui ne sont pas alignés avec l’esprit du restaurant.”
Une note de 4,8 sur 20 avis n’est pas à lire comme un 4,5 sur 2000 avis. Il faut alors croiser la quantité d’avis et leur qualité : trop peu, c’est trop neuf ou trop biaisé ; trop, c’est souvent touristique. L’info est dans la proportion, pas dans l’absolu.
“En dessous de 4,5, c’est un non catégorique pour moi”, avoue Jean-Nicolas Meiffret de chez We Are Ona. “Je privilégie clairement les restaurants avec peu d’avis : l’idéal, c’est entre 50 et 400. À ce stade-là, il y a encore une forme d’authenticité, des adresses pas encore sur-fréquentées, où la clientèle locale domine. À l’inverse, un resto avec des milliers d’avis peut signifier deux choses : soit c’est une institution locale qui attire les foules, y compris les touristes ; soit une adresse ultra-touristique qui fonctionne par effet de masse. Et là, c’est un ‘non’ direct.”
Pour mon ami Livio, “le bon ratio, c’est un restaurant avec un nombre d’avis conséquent, disons entre 200 et 1000”. Assez pour avoir un bon recul, “mais pas au point de tomber dans le resto ultra-touristique ou l’adresse trop hype qui attire tout le monde” . Pour ce qui est de la street-food, voici un ratio qui vous permettra de ne jamais vous planter : "un 4,8 avec 600 avis, je suis quasi sûre que ce sera super”, souffle Shirley Garrier.
Les avis récents donnent une photo à jour du lieu. Les avis longs, eux, permettent de cerner ce qui plaît ou déplaît vraiment. Mais il faut se méfier. “Les avis longs sont les plus intéressants, admet Guilhem Malissen. Certains avis ne sont pas des garanties, mais ils donnent un signal. Par exemple, quelqu’un qui écrit : “je suis allé 10 fois au Japon et ces sushis sont aussi bons que là-bas” – ce n’est pas une preuve absolue –, mais c’est mieux que rien. Et si tu as le temps, tu peux aller plus loin : tu cliques sur le profil d’un avis intéressant, tu regardes où cette personne est allée d’autre pendant son séjour… et tu vois si ça colle à ton propre goût ou à ta liste.”
Pour Shirley Garrier, pas question de se formaliser. “Je ne regarde pas forcément la note d’un resto. Si un lieu dépasse 100 avis, je peux y prêter attention, mais ce qui m’intéresse surtout ce sont les mauvais commentaires : ce sont parfois eux qui révèlent les meilleures adresses, confie-t-elle. Par exemple, un resto noté 4 mais avec des commentaires négatifs attire mon attention : je vais lire ces avis pour comprendre ce qui a poussé les gens à se plaindre. Souvent, ces critiques n’ont rien à voir avec la cuisine ou le service mais proviennent de personnes frustrées par des détails insignifiants”.
Attention aux avis trop élogieux, ou trop véhéments. Attention, aussi, à ceux qui ne s’attardent que sur des déconvenues individuelles (une résa cafouillée, un service qui a exceptionnellement pris trop de temps, une personne mécontente de son placement en salle…).
Shirley Garrier livre ici un conseil précieux : “Il y a ce que j’appelle les ‘bons mauvais commentaires’”. Ce qui est jugé négatif par certains peut parfois être exactement ce que je cherche”. Des critiques qui résonnent, pour elle, comme de vrais signes positifs :
“Ils n’ont même pas de carte, on ne peut pas choisir”
“Ils ne prennent pas les groupes de 8 personnes une honte”
“Le serveur place les locaux avant les touristes”
“Nous avons mangé au bar debout”
“Le sol collait, la déco date des années 80”
“Que des abats, à fuir”
“Le patron boit avec les clients”
“Je classe les avis par les plus récents pour sentir l’ambiance du moment, puis je regarde les pires, ajoute Guilhem Malissen. Tous les restos ont de mauvais avis, donc je fais le tri : j’ignore ceux qui semblent excessifs ou absurdes, et je me concentre sur ce qui revient souvent — bruit, service, ambiance — pour voir si ça me dérange, moi. Je regarde aussi l’évolution dans le temps : si un souci est mentionné plusieurs fois mais plus du tout depuis un an, je me dis que ça a été réglé. Au final, il faut lire entre les lignes et chercher des gens qui te ressemblent. Ce n’est pas une science exacte, mais on finit par repérer certains marqueurs de confiance.”
Un pic d’avis en très peu de temps ? C’est peut-être un resto qui vient de buzzer sur TikTok ou une réouverture post-rénovation. Trop de commentaires anciens et plus rien depuis ? Le lieu a peut-être changé de main ou de concept. Les tendances racontent une histoire. Astuce, donc : repérer les tendances d’évolution en triant les avis par date, et surveiller les pics de commentaires suspects.
Parfois les meilleures adresses sont souvent celles qu’on ne cherchait pas. Google peut aider à filtrer, mais pas à choisir à notre place. Car à trop vouloir optimiser, on passe parfois à côté de l’essentiel : la surprise et la coup de chance. Alors, oui, scroller, comparer, analyser… mais parfois aussi, rentrer sans réfléchir. C’est ça, le vrai luxe. Alors, que valent vraiment les avis Google ?
“Je me repète sans cesse, mais je ne regarde vraiment pas les notes, que ce soit pour 400 avis ou pour 11000”, admet Christine Doublet du Fooding. “J'ai entendu trop d'histoires de restaurateurs qui ont reçu des notes de 0 à 1 étoile par des clients qui n'ont pas dîné ou parce que : "Il n'y avait pas d'huîtres ce soir-là alors que j'en avais envie". Même si ça a moins de poids, je ne fais pas non plus plus confiance à de très bons avis (qui peuvent venir d'amis et de proches), sauf s'ils sont très développés…”
Le chef Quentin Peron est du même avis : “Pour moi, Google est un outil assez clivant. Parfois fiable, mais très souvent, tu risques d’être déçu si tu l’abordes avec un esprit trop rigide. Je ne me fie jamais, par exemple, à un commentaire qui se plaint d’un serveur jugé désagréable, ou à une photo de plat pas très instagrammable, dit-il. Tout dépend de ton ouverture d’esprit et de ce que tu attends d’un resto. Si tu es curieux, un peu aventurier, et que tu ne t’arrêtes pas aux apparences ou aux petits défauts, alors tu peux vraiment passer à côté de super adresses en faisant trop confiance aux notes.”
Christine Doublet finit avec la plus grande des sagesses : “Avec le temps, j’ai pris l’habitude de chercher des restos de manière presque obsessionnelle — ça fait 15 ans que je fais ça. Mais malgré toutes les méthodes, il y a toujours de bonnes et de mauvaises surprises. Et c’est ça aussi le plaisir : se laisser surprendre.
Et c’est peut-être cela le plus précieux des conseils : “Au fond, le plus fiable restera toujours : les gens. Rien ne vaut une recommandation donnée sur place, dans un endroit qu’on a déjà aimé. C’est ce que je conseille à tout le monde — et c’est même une consigne au Fooding : laisser des créneaux libres dans son planning pour les bonnes surprises, et toujours poser des questions aux locaux.”
Tu as mangé des pâtes incroyables dans une trattoria à Reggio Emilia ? Demande-leur où ils prennent leur café le matin. Tu viens d’emménager à Nice et tu adores la boulangerie en bas ? Demande où ils achètent leur fromage. C’est le meilleur moyen de voyager… et de manger.
Ceci un grand moment d’Internet que certains ont peut-être déjà oublié.
En 2017, dans la banlieue de Londres, un journaliste de Vice s’était amusé à monter, dans son jardin, un faux restaurant, complètement factice : “The Shed at Dulwich”. Un canular rocambolesque et d’un délicieux cynisme imaginé dans le simple but de tester la fiabilité des avis et des recommandations de TripAdvisor.
Avec un site web, un numéro de téléphone prépayé, des photos grotesques de plats composés à partir de produits ménagers (mousse à raser, pastilles de lave-vaisselle…), et une vague de faux avis positifs publiés par ses amis, il avait alors trompé l’algorithme jusqu’à devenir le restaurant le mieux noté de Londres dans l’application TripAdvisor.
Bombardé de demandes de réservations de clients tombés dans le panneau, de propositions de partenariats, et surpris par l’afflux d’appels de médias du monde entier, le journaliste Oobah Butler a finalement organisé une seule et unique soirée d’ouverture, en novembre 2017, avec dix invités, dupés et piégés. Il y avait alors servi des plats surgelés, dressés et grimés comme des créations culinaires gastronomiques. À l’époque, ce coup médiatique avait exposé la facilité avec laquelle les algorithmes d'avis en ligne pouvaient être manipulés.
C’est une histoire assez folle, et vous pouvez en découvrir les moindres détails ici.
Puisqu’on parle d’avis et de notes sur Internet, il est temps de saluer, comme il se doit, un petit exploit. Celui d’un restaurant parisien qui a su faire fléchir et déjouer les lois parfois perfides de l’Internet, sans tricher, sans mentir, et en jouant carte sur table. Ce restaurant, c’est Maslow, lancé sur les quais de la Seine et désormais aussi confortablement installé du côté de République, à Paris.
Pourquoi c’est important et salutaire ? Parce que le restaurant flirte entre le 4,9 et le 5 étoiles, avec plus de 11 500 avis. Un ratio ahurissant et rarissime, témoin de la qualité de ce projet vertueux, végétarien, décomplexé et accessible, porté (notamment) par le chef Mehdi Favri.
Dans la jungle des avis Google, où un tiers des avis seraient faux ou présenteraient des anomalies (comme l’a observé la répression des fraudes française), il faut donc savoir se frayer un chemin. À tel point que, récemment, la science s’en est mêlée à son tour. Une étude du MIT révélait ainsi que les faux avis avaient une fâcheuse tendance à utiliser des points d’exclamation à outrance, en comparaison aux avis authentiques et organiques.
Par ailleurs, une étude du CNRS soulignait que le recours à des expressions tels que “comme, que”, “ce que”, “qu’est-ce que” (associés à un point d’exclamation) découlaient presque automatiquement sur des avis négatifs. Une étude récente a, elle, fini de me miner le moral : elle démontre que l’utilisation d’IA génératives (comme ChatGPT) ouvre la voie à une paresse intellectuelle terrifiante… et donc à une capacité de critique, d’analyse et de réflexion en chute libre – y compris lorsqu’il s’agit de décrire son expérience dans un resto ou un coffee-shop.
Au Royaume‑Uni, en 2024, le patron d’un groupe de six restaurants a subi une tentative de chantage : un escroc exigeait 2 000 £ sous peine de poster 1 000 mauvais avis sur tous ses établissements.
Aux États‑Unis, en 2022, une méthode similaire avait touché une poignée de restaurateurs indépendants. Des malfrats avaient trouvé la combine en déclenchant une avalanche de “1 étoile” pour demander ensuite de l’argent en échange de la suppression de ces avis négatifs
À Tours, en 2023, un restaurateur s’est réveillé, un matin, avec 22 mauvais avis postés dans la nuit, faisant chuter sa note de 4,5 à 3,2 et causant un manque à gagner estimé à 50 000 euros. Le coupable présumé ? Une ancienne salariée mécontente.
C’est l’été, mais je n’allais pas vous laisser sans quelques petites recommandations. Néanmoins, cette fois, pas de bouffe… mais de quoi survivre aux aléas estivaux. Voici donc le test comparatif annuel des anti-moustiques d’UFC-Que Choisir, toujours très attendu par ceux qui ont le sang trop chaud ou la peau trop fine.
Ne me remerciezzAZZzZZZzZZZzz pas.
Dans une récente vidéo YouTube, le meilleur créateur de contenu du Québec (du Canada, et de l’Amérique toute entière) Gurky a partagé une merveille musicale inconnue de nous autres Français. Du Bad Bunny ? Un son inédit de Wu Lyf ? Pas du tout. Simplement l’hymne incroyable de Barbie’s, un resto-grill familial québécois, à en rendre fou de jalousie un Vegedream des grands jours.
Cliquez, vous verrez.
C’est tout pour aujourd’hui. On se retrouve, ici-même, en septembre, pour la rentrée… avec une trèèèès grande nouvelle. D’ici là, portez-vous bien et bon été à tout le monde – mollo sur le tinto de verano, et on n’oublie pas la crème solaire !
→ Mon Instagram où je montre ce que je mange.
→ Ma carte Mapstr où je dévoile là où je mange.
→ Mon Instagram (secret) où je fais de la peinture.
→ Mon (autre) identité où j’infiltre des supermarchés.
→ Mon Tumblr qui prouve que je suis un vieux d’Internet.
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